
Quelques indiscrétions
Les pieds dans le plat

Ah… un vrai pamphlet de temps en temps, c’est plaisant ! Pourquoi ai-je pensé à Desproges en vous lisant ?
Publié le 24 Octobre 2016
"Les pieds sont dans le plat, mais la source du délire se trouve bien dans la caboche de Bernadette. Flots inextinguibles de folie douce, cabrioles à la Jarry, cul par dessus tête à la Queneau, il est préférable d'attacher sa ceinture pour ce rodéo hilarant à Foutraque City. On se croirait un peu dans "L'automne à Pékin" de Boris Vian qui possède cette jubilatoire singularité de ne parler ni de l'automne ni de Pékin. Ca pétille à chaque page et ça produit des flammes de joie. Bref, un jeune auteur galopin sur lequel le XXI ème s. devra compter pour renvoyer le Prozac aux oubliettes ! Je recommande vivement."
Les enquêtes du commandant Nabet
"Chère Boissié-Dubus Bernadette, je viens de parcourir une petite centaine de pages du "Sang de la miséricorde" et une petite centaine de pages de "L'ombre des prédateurs", (ce dernier par pure gourmandise). Alors, bravo, bravo, bravo, chère Bernadette !!! Vous possédez indéniablement un immense talent de conteuse. Le stylo est on ne peut plus à sa place au creux de votre main. Votre écriture polar est ciselée au petits oignons, vive comme l'anguille, ultra contemporaine, décapante, prodigieusement vivante, érudite sans trop s'en faut, en un mot passionnante et je pèse mes mots. Vous comparer à miss Fred Vargas n'est à mes yeux pas du tout usurpé. J'ai, pour l'heure, une tonne de lecture en retard, mais dès que je le pourrai, c'est avec grand plaisir que je reviendrai sur vos ouvrages, comme j'aimerais aussi découvrir vos nouvelles et un extrait de votre thriller d'anticipation."
Des peaux aiment
bernadetteL
Certains de vos poèmes ont un charme spécial. On en sent l'inspiration et les racines, mais ils s'envolent pour dire d'autres vérités. Merci.
Publié le 13 Octobre 2016
BOSSY
@Boissié-Dubus Bernadette. Il y avait longtemps que je n'avais lu un semblable mystère d'enchaînements de mots choisis pour exprimer l'indicible. Chaque poème étonne.Les allusions, d'abord obscures, s'éclairent brutalement lorsque l'on croit avoir compris. Un seul poème manie la rime, me semble-t-il. Tous les autres manient le rythme, le choc, la surprise. On divague de l'infiniment petit au creux de l'âme aux envolées cosmiques qui englobent le monde, de la fleur qui blesse la main au courroux contre les hommes qui blessent la nature. On parcourt le chemin entre la beauté de la vie et sa flétrissure inévitable par le temps qu'on ne maîtrise pas. Vous êtes très proche du coeur et soudain, vous vous arrachez pour contempler de loin. Et vous égrenez votre texte de sentences indubitables qui valent pour tout le monde, partant de votre particulier. Voulez-vous que je vous dise, sans que vous n'ayez à vous voiler la face : Je suis resté pendant une heure dans cette terre de cailloux rugueux où l'on marche ébloui par l'incroyable vérité des mots juste à leur place, comme cela m''est arrivé auparavant quand j'ai découvert René Char. Mon étonnement est d'autant plus grand que vous puissiez faire cela et écrire des thrillers, forme d' écriture inaccessible pour moi. Vous avez peu de commentaires pour 167 lectures. Tant il est vrai que la poésie laisse coi plutôt que bavard. J'ai lu peu de textes à cette hauteur dans mBS. Amandine et Garance ne sont pas seulement vos plus belles oeuvres. Pourquoi ne viennent-elles pas le dire ?
Publié le 05 Novembre 2016
L'été de la dame en blanc :
Vous êtes une amoureuse de votre pays, ça se sent, votre plume est vivante, alerte, gaie. J’ai passé un très bon moment dans votre aventure Cathare. Merci pour ce partage
Publié le 01 Mai 2017
Le preta de l'île singulière
Quelle imagination ! Très distrayante. Et votre écriture est gaie. Ce qui aujourd’hui, n’est pas une petite qualité (probablement inversement proportionnel à l’âge, quel comble !)
Publié le 30 Avril 2017
En nos sombres jardins
Elles sont très bien vues vos nouvelles courtes et bien taillées. Joli sens de l’observation aussi et du savoir-dire, bien sûr, pour une auteure chevronnée. Avec une mention particulière pour « le sang de la terre », magnifique de justesse.
Publié le 01 Mai 2017
Quel qu'en soit le prix
Bien glauque comme il faut votre univers ! Et sordide. Bref, un vrai cocktail de bons ingrédients de polar mené à la baguette. J’ai retrouvé votre plume alerte, capable de décrire le quotidien comme si on y était (même quand on n’a pas envie d’y être… !)
très percutant, l'écriture colle bien au fond. j'ai passé un moment captivant
Publié le 22 Juillet 2017
Ce livre m a fait passé un bon moment! Merci
Publié le 26 Juillet 2017
excellent et une fin surprenante
Publié le 29 Juillet 2017
Vous entrez dans le livre à pas de loup, puis les pages défilent. Bernadette Boissié Dubus à tant d'amour à faire partager qu'Elise, son héroïne en est imprégnée. Elle partage sa vie (et le mot partage n'est pas trop fort) avec sa fille. Quelle vie !!!! Jusqu'à la dernière page (surtout ne lisez pas la fin) vous allez être entrainé(es) dans ce quotidien que l'on pourrait croire isolé, mais qui marque bien notre époque. Notre imagination accompagne l'écriture, on est entré dans l'histoire, on devient "voyeur" on souffre, en quelque sorte on vit ou survit mais .............. que ferions-nous après cette solitudes et ces souffrances ? cgh34
SUPER ROMAN. A LIRE ABSOLUMENT.
Publié le 29 Juillet 2017
Quel qu'en soit le prix
Bien glauque comme il faut votre univers ! Et sordide. Bref, un vrai cocktail de bons ingrédients de polar mené à la baguette. J’ai retrouvé votre plume alerte, capable de décrire le quotidien comme si on y était (même quand on n’a pas envie d’y être… !)
très percutant, l'écriture colle bien au fond. j'ai passé un moment captivant
Publié le 22 Juillet 2017
Ce livre m a fait passé un bon moment! Merci
Publié le 26 Juillet 2017
excellent et une fin surprenante
Publié le 29 Juillet 2017
Vous entrez dans le livre à pas de loup, puis les pages défilent. Bernadette Boissié Dubus à tant d'amour à faire partager qu'Elise, son héroïne en est imprégnée. Elle partage sa vie (et le mot partage n'est pas trop fort) avec sa fille. Quelle vie !!!! Jusqu'à la dernière page (surtout ne lisez pas la fin) vous allez être entrainé(es) dans ce quotidien que l'on pourrait croire isolé, mais qui marque bien notre époque. Notre imagination accompagne l'écriture, on est entré dans l'histoire, on devient "voyeur" on souffre, en quelque sorte on vit ou survit mais .............. que ferions-nous après cette solitudes et ces souffrances ? cgh34
SUPER ROMAN. A LIRE ABSOLUMENT.
Publié le 29 Juillet 2017